Soixante chansons pour fêter les soixante ans de Madonna
« Time goes by so slowly »… Et pourtant! Madonna fête ses 60 ans le 16 août prochain. Pour l’occasion, Hornet passe en revue les 60 meilleures chansons de sa discographie, de Madonna en 1983 à Rebel Heart en 2015 (dont le successeur est attendu cette année), en passant par True Blue, Ray of Light, Music ou Confessions on a dancefloor.
1, 2, 3, c’est parti!
La version studio est « juste » un grand classique des années 80. La version live du Girlie show transporte la chanson dans une autre dimension. Joie, sensualité latine, bonheur de danser… Si vous vous demandez pourquoi Madonna est Madonna, regardez la vidéo ci-dessous:
Nombre de chansons de Madonna sont inséparables de leur clip. Celle-ci en tête. La vidéo montre une Madonna brune, avec un Christ noir et des croix en flammes. Les religieux ont détesté et ont causé un scandale qui lui a permis d’accéder à la postérité. Et quelle magnifique mélodie…
La perle de Ray of Light, qui a marqué le grand retour de Madonna sur le devant de la scène. Une chanson co-écrite avec Patrick Leonard, auteur de plusieurs de ses tubes les plus intemporels.
« Ne vous contentez pas du deuxième choix ». Peut-être le titre (avec Human Nature) qui symbolise le plus le côté féministe de Madonna. Et l’une de ses chansons les plus iconiques (quasi doublement, puisque Lady Gaga s’en est fortement inspirée pour Born this way, ce qui n’a guère plu à la Madonne)
Conçu comme un hommage à la culture voguing, le morceau est parfois pris à tort comme l’un des initiateurs du mouvement. Chanson redoutable, avec une chorégraphie mythique que beaucoup de garçons gays se sont appliqués à reproduire dans leur salle de bains.
Une chanson de joie pure, que le temps n’a pas endommagée. Elle est au programme de quasiment toutes les tournées, généralement en rappel.
Un sample d’Abba une production dance parfaite, Hung Up est la tête de pont d’un des albums les plus appréciés des fans. Et son dernier plus grand tube en date.
A l’aube du XXIème siècle, Madonna s’associe avec le producteur français Mirwais et prouve que pour sa troisième décennie d’activité, elle peut encore produire des tubes dance imparables comme celui-ci.
Des paroles et des poses plus suggestives tu meurs, une robe de mariée: une légende est née.
Le meilleur titre dance de l’album du même nom. Où comment résumer le meilleur de Madonna et du producteur William Orbit en une seule chanson.
Titre génial dans lequel Madonna revendique haut et fort sa liberté sexuelle. « I’m not sorry », chante-t-elle. « Je ne suis pas désolée. »
Cette chanson est inséparable du t-shirt « Italians do it better » que la Ciccone arbore dans la vidéo. Une de ses nombreuses chansons sur le thème père/fille (avec notamment Oh Father, sur Like a Prayer)
L’un des tubes qui ont construit sa légende. La production a peut-être un peu vieilli, mais pas la chanson.
Magnifique titre de l’album Music, empreint de mystère et de retenue.
La ballade guitare-pop est un passage quasi-obligé de chaque album depuis Bedtimes stories et Secret. Celle-ci n’a toutefois jamais été égalée.
L’autre tube de Music, qui rappelle le Sweet Home Alabama de Lynyrd Skynyrd. Vous donnera furieusement envie d’enfiler un chapeau de cowboy et de bosser les pas de danse country.
« Mon nom est Dita, je serai votre maîtresse ce soir ». Madonna explore la sexualité dans cette chanson envoûtante, qui figure sur l’album éponyme.
Difficile d’oublier la version disco de ce titre d’Erotica dans la tournée du Girlie Show.
« I want to kiss you in Paris, I want to hold your hand in Rome »… Une chanson hyper sensuelle, une magnifique vidéo en noir et blanc signée Mondino (qui en a réalisé beaucoup d’autres)
Avec ses chœurs gospel, Nothing fails s’inscrit clairement dans les pas de Like a prayer, le côté sulfureux en moins, mais avec une magnifique production de Mirwais en plus.
La reine de la pop a toujours su faire des ballades simples, belles et entêtantes. Ghosttown, sur Rebel Heart, en est le dernier exemple.
L’un des meilleurs titres du sous-estimé Hard Candy.
Pas un chef d’oeuvre, mais une belle balade tout de même.
Une balade iconique des années 80.
Dans In this life, Madonna rend hommage à ses amis gays morts du sida.
Pour le premier single de l’album Hard Candy, Madonna sort l’artillerie lourde côté production. Avec Timbaland aux manettes et un featuring de Justin Timberlake en prime.
Un petit côté American Pie à ce joli titre pop et efficace de l’album Rebel Heart. Pas révolutionnaire, mais entêtant comme une balade folk au coin du feu.
Créée pour l’un des meilleurs films où figure Madonna, Recherche Susan Désespérément.
Au cas où on l’aurait oublié, bitch elle est Madonna.
Une de ses chansons les plus mélancoliques, écrite avec Shep Pettibone (aux commandes de Erotica) pour le film Une équipe hors du commun.
Une chanson co-écrite avec Mirwais, des cordes signées Michel Colombier, cette chanson composée pour le James Bond Meurs un autre jour figure aussi sur American Life.
Madonna façon Eurodance, avec un featuring de Kazaky pour la vidéo.
Premier single du sous-estimé American Life. Paroles un poil naïves, et Madonna s’y essaie au rap (pas forcément ce qu’elle fait de mieux), mais la chanson a été un tube mérité malgré tout.
Deuxième single d’American Life. Moins surprenant que le premier mais encore plus efficace.
Le morceau d’ouverture de Ray of Light, parfaite introduction de cet album majeur.
Après un album MDNA en demi-teinte, Madonna montre qu’elle a encore sous le pied.
Presque 20 ans après Human Nature, Madonna ne s’excuse toujours pas.
31 ans après la sortie de ce single lié au film du même nom, on sait qui est cette fille…
Madonna à sa période Marylin. Dans un monde matérialiste, les filles peuvent l’être aussi.
Dernier titre d’American Life, qui clôt l’album en beauté. Mention spéciale pour les cordes magnifiques.
Peut-être le plus faible des premiers singles d’albums de Madonna (pour MDNA), mais les featuring de M.I.A. et Nicki Ninja sauvent l’ensemble.
Une chanson volontairement un peu idiote (sur l’album du même nom), avec un son pop sixties, qui vous reste dans la tête longtemps après l’avoir écoutée.
Une autre chanson sur la relation compliquée entre Madonna et son père. Reprise récemment par Sia?
L’une de ses toutes premières chansons. Alors qu’on voit un homme au volant d’une voiture pendant toute la vidéo, à la fin, c’est elle qui prend le volant. Tout un symbole.
Une belle ballade de Erotica, plus innocente que le single titre.
Une chanson extraite de la bande-son d’Evita, la comédie musicale d’Andrew Lloyd Weber adaptée à l’écran par Alan Parker. Un rôle que Madonna a tout fait pour avoir.
La seule collaboration Madonna/Björk, avec une son plus électro que le reste de l’album. Hypnotique.
Refrain à l’irlandaise pour cette chanson sympathique.
Une chanson un peu différente des autres dans laquelle une voix masculine récite un poème en hébreu.
Le dernier titre de l’Immaculate collection, qui tient (presque) la comparaison avec les immenses tubes qu’il côtoie au sein de cette compil mythique.
Autant le film (The next big thing) pour lequel elle a été créée est un navet, autant cette rareté est réussie.
Un featuring de Kanye West sur ce titre très sympa d’Hard Candy.
La production de Mirwais sublime cette belle balade au touchant refrain. Ci-dessous la version live du Drowned World Tour.
L’un des singles de American Life, sur lequel rien n’est décidément à jeter.
Ce n’est pas pour rien que Confessions a ramené à Madonna toute une nouvelle génération de fans. Le son de electro-pop / dance de Stuart Price fait des merveilles.
Si vous vous sentez d’humeur sirupeuse, précipitez vous sur Take a bow.
Un titre très pop co-écrit avec William Orbit à l’époque de Ray of Light pour le film Austin Powers 2.
La voix de Charlotte Gainsbourg en intro pour cette chanson qui figure qui détonne un peu sur Music (car non-produite par Mirwais).
Un titre plutôt séduisant et le kimono du clip est passé à la postérité (les fans de RuPauls’ Drag Race comprendront)
Un son très eurodance pour ce single extrait de la compil du même nom. Mission accomplie, ça donne envie de danser.